C'est le matin, mais nocturne encore, j'ai entendu s'y lever la mer
Liquide, solide, brume et gouttelettes devenue
Et les varechs lavent son quotidien
Dans le tourbillon sable qui brouille le regard
Sans cesse
toujours là avec son écume cristal
S'en est allée la mer
S'est levé alors le matin
Si froid encore aujourd'hui
Il a perdu sa laine estive
En ses pâturages d'hiver
s'en est allée, mais reviendra
RépondreSupprimerl'esentielle
oui et elle revient parfois par surprise sans qu'on ne s'y attende !
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