C'est une lumière matinale qui suit à la trace les chemins de sous-bois. Tête à la renverse vers ses fenêtres aurore, elle saisit le noyau dur de la vie. Une seconde. Juste une seconde. Et tout s'éclaire.
L'espace d'un instant.
Oublis, oublis, faut-il vous aimer ?
Oublis, oublis, faut-il vous aimer ?
merveilleuses photos !
RépondreSupprimermerci brigitte ! belle journée à vous
RépondreSupprimerBel éloge de la brièveté,
RépondreSupprimeret de l'oubli (qui la rend possible)