Une mémoire nymphéas au détour d'un chemin réservé seulement aux pêcheurs et aux services de la voirie. Dessus-dessous, argile ou cire, elle trace racines enfouies inarrachables. Si profondes, emmêlées, d'anciens visages s'y sont dessinés. Faux nymphéas, vraie mémoire, vrai faux semblant, peu importe, la lumière réjouissance calligraphie déjà les ombres du matin. Brassées du jour.
Vrais ou faux nymphéas, pourvu qu'elles charment les lieux!Belle journée
RépondreSupprimer...qu'ils charment les lieux !
RépondreSupprimermerci ! à vous aussi. Près des nymphéas, j'ai croisé ce matin de vrais-faux pêcheurs et de vrais-faux employés de la voirie qui regardaient les coins de pêche...pour quand ils ne travaillent pas ;-)))
RépondreSupprimerQuel charme, en effet, que ces lieux de beauté proprement insaisissable, devant laquelle vous faites trébucher le langage. Attention de ne pas y faire un faux pas !
RépondreSupprimerle lapsus comme acte réussi, comme disait quelqu'un ;-))) merci de votre passage
RépondreSupprimerMerci pour cette beauté partagée !
RépondreSupprimermerci de votre regard partage marie christine. belle journée !
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