Les
idées se voudraient parfois toutes blanches ou toutes noires,
simplissimes. Mais il suffit qu'une herbe pousse dans l'ombre de l'une
d'entre elles, pour que pousse encore et encore une forêt bientôt,
envahissant le monde des pensées rectilignes. Pensées foisonnantes qui
comme une poignée d'herbes sauvages, devisent et rient. C'était la nuit rébus des ombres folles.
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