C'est en cherchant des lignes, des courbes, des fragments et des brisures, qu'elles sont apparues, mot à mot, euphonie nature, habitant le silence suspendu à son battement d'ailes. Au retour, du tréfonds de la terre, dans le rythme des pas, a résonné l'injonction monde. Habite l'herbe sienne, l'herbe verte, l'herbe folle, l'herbe cursive, en ses bouquets incessants. Parole d'eau. Dans le creux de l'oreille.
Enfin l'herbe vînt...
RépondreSupprimermerci de votre partage ! L'herbe sèche de surcroit, si belle, si foisonnante.
RépondreSupprimerBelle journée à vous