J'ai continué à chercher des verticales qui n'existent pas, orages, éclairs, annonçant une nuit qui n'en finit pas. Miens sont les cieux, mienne est la terre, mais ils étaient de nuit avant que n'arrive la lumière. Fallait-il éliminer les verticales au risque de retomber dans le familier des horizontales horizon. Je me suis allongée sur le sol. Et mes yeux ont alors vu monter cette trouée blanche inespérée que j'avais tant cherchée depuis des jours. Cela te suffira-t-il m'a-t-elle demandé à l'oreille. Fais ce que je peux... Ai aimé son amitié.
Tout d'abord, en image un bouillonnant et obscur mélange oblique...si loin de la terre est la lumière! Et puis, en inversion... l'ouverture offerte, nuages troués de blanche heureuse amicale encontre : voici l'horizon invité,accompagné d'une horizontalité qui l'accueille et fait lien. Merci Huê pour ces images et cette écriture que je ressens en étrange résonnance.
RépondreSupprimerdedans, dehors, en bas en haut, listes, directions, sens inversés ou imprévus qui déroutent le regard et dépaysent de la géométrie familière...
RépondreSupprimermerci de votre passage chère Noëlle et de votre lecture.