flocons mouettes ce matin
balayent les gens aux airs savants
lançant la discorde
face aux discours qui secourent
dans l'été devenu frais
la rose trémière
a oublié ses feuilles sèches
le puits est-il sec
ou n'ai-je su faire marcher la
pompe
mon regard dans l'eau
oh vertiges
je craignais que tu ne me manques
mais voilà le retour de la lumière
petits riens
vous n'êtes rien
seulement menus éclats
d'une parole
juste le plaisir de nous ramener la dame
RépondreSupprimermille mercis brigite de votre passage et commentaire ;-)
RépondreSupprimerQuel plaisir de vous lire à nouveau, chère Huê, au travers de ces "petits riens" qui disent si bien dans le poème et la photo, l'intime et l'infime des liens. Et les mots, les vrais font brèche au savoir trop savant et aux idéologies discordantes. Merci pour ce rappel des puits, des roses trémières, de la lumière.
RépondreSupprimeroh merci de votre passage noëlle, pour ces petits riens qui accompagnent la vie, sur le chemin du quotidien et que dansent les mots quand ils le peuvent :-)
Supprimerla très nervalienne rose trémière... et le retour de vos mots
RépondreSupprimeret si grand merci de votre retour lecture aussi ;-)
RépondreSupprimerComme c'est beau !
RépondreSupprimerGrands bouleversements que ces petits riens, à l'égal de l'âme ou du ciel...
merci de votre retour pour ces petits riens qui nourrissent le quotidien que font entendre aussi vos textes et couleurs, ces petits riens comme échos parfois des mots jusque dans leurs modifications physiques sonores...
Supprimerbelle soirée à vous