aboie au bassin
nuit de lune ( bushi)
du jardin
des voix
sur le chemin
leurs propres reflets dans l'eau
effraient
les lucioles ( sutejo )
voûtes
rondes
berceuse du soir
splendide la voie lactée
à travers
les déchirures du mur ( issa)
automne traînant
à travers
les feuilles
Pierres dorées comme un pain croustillant
RépondreSupprimerlumière de la pensée
Un arbuste tremble au vent
pierres saintonge
Supprimerqui abritent le vent
douceur douceur
merci noëlle de votre visite, je ne sais pourquoi la fin du message n'était pas passée :-)
SupprimerMerci pour ce soir qui s'alourdit en langueurs tièdes.
RépondreSupprimerdouceur du soir
Supprimermême les voix de la rue
imitent les oies sauvages
belle soirée cher René
Ah ! c'est beau
SupprimerMerci