Les mots chantent, pas loin de Verlaine, la danse imperceptible du silence. Image de nature douce et vague. L'oblique de ces deux éclats floconneux dans les branches, au-dessus de l'eau porte en sérénité.
le hors temps souvent fait penser au passé toujours actuel mais là les flocons ramènent tant aux éternels silences de neige ! belle journée à vous chère Noëlle merci de votre passage
J'aime beaucoup cette photo nimbée d'un bleu qui la garde dans un présent suspendu "hors temps hors là". Cette perception aussi, que tout ce qui nous concerne de très près, le partage intime d'un paysage par exemple, est en quelque sorte ailleurs, hors du temps convenu, hors du lieu convenu. J'y vois, dans cet ailleurs, une déprise salutaire de l'environnement standard, factice dont on est imprégné par les médias. Merci pour cette poésie.
ce qui me venait aussi est que les saisons qui passent paraissent si pérennes qu'elles amènent le sentiment de les retrouver encore et toujours, elles donnent peut-être l'illusion de nous affranchir du temps, et de rentrer enfin dans le présent " hors-temps hors là " :-) petit ilot qui ne cesse de passer... belle soirée René !
merci pour ce moment de fragile beauté (juste me va)
RépondreSupprimerpetits moments qui oxygènent belle journée à vous brigitte
SupprimerLes mots chantent, pas loin de Verlaine, la danse imperceptible du silence. Image de nature douce et vague. L'oblique de ces deux éclats floconneux dans les branches, au-dessus de l'eau porte en sérénité.
RépondreSupprimerle hors temps souvent fait penser au passé toujours actuel mais là les flocons ramènent tant aux éternels silences de neige ! belle journée à vous chère Noëlle merci de votre passage
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette photo nimbée d'un bleu qui la garde dans un présent suspendu "hors temps hors là". Cette perception aussi, que tout ce qui nous concerne de très près, le partage intime d'un paysage par exemple, est en quelque sorte ailleurs, hors du temps convenu, hors du lieu convenu. J'y vois, dans cet ailleurs, une déprise salutaire de l'environnement standard, factice dont on est imprégné par les médias. Merci pour cette poésie.
RépondreSupprimerce qui me venait aussi est que les saisons qui passent paraissent si pérennes qu'elles amènent le sentiment de les retrouver encore et toujours, elles donnent peut-être l'illusion de nous affranchir du temps, et de rentrer enfin dans le présent " hors-temps hors là " :-) petit ilot qui ne cesse de passer... belle soirée René !
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