dans l'eau que je puise
scintille le début
du printemps
( Ringai )
ce vent
encore frais
rafale ses pétales
de quel air revêche
elle me regarde
la grenouille
( Issa)
solidaires
fraternels
tous ces cerisiers printemps
dans les jeunes herbes
le vieux saule
oublie ses racines
( Buson)
herbe si tendre
tu me fais oublier
le chemin
scintille le début
du printemps
( Ringai )
ce vent
encore frais
rafale ses pétales
de quel air revêche
elle me regarde
la grenouille
( Issa)
solidaires
fraternels
tous ces cerisiers printemps
dans les jeunes herbes
le vieux saule
oublie ses racines
( Buson)
herbe si tendre
tu me fais oublier
le chemin
Magnifique bal(l)ade printanière en photos et mots; j'aime particulièrement la naïve barrière en bordure d'eau et la grenouille d'Issa. Ici, l'herbe est devenue garde-manger des oiseaux qui ont auparavant épuisé les boules de graisse accrochées aux arbres. Moins de succès à nos fenêtres bordelaises!
RépondreSupprimermerci chère Noëlle, cela m'a fait tellement d'oxygène de m'y promener, merci de ce partage ! belle journée à vous
SupprimerPromenade en beauté, si paisible et si pleine de petites surprises !
RépondreSupprimerle parc est toujours magnifique et les jardiniers japonais et français qui s'y relaient disent une fraternité d'un regard nature qui rend sensible une fraternité humaine
RépondreSupprimermerci de ce partage cher René
Voilà donc l'explication de ces surprises au gré des pas...
SupprimerMagnifique
RépondreSupprimermerci de votre partage
SupprimerMagnifique
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