c'est un banc en marge du chemin où aboient les grenouilles et jacassent les oiseaux ils ont fissuré ses fibres de bois et seules sont restées suspendues au-dessus des miroirs d'eau ces voix monde miaulements ramages fibrillaires fractales
Des belles photos où l'on sent ces étirements, ces élancements de la durée, de la matière comme aussi des paroles qui les épousent bien, font entendre, miauler du désir de dire. Je ne sais pas si mon commentaire te parviendra, tous les derniers que j'ai postés n'ont pas paru...
Des belles photos où l'on sent ces étirements, ces élancements de la durée, de la matière comme aussi des paroles qui les épousent bien, font entendre, miauler du désir de dire. Je ne sais pas si mon commentaire te parviendra, tous les derniers que j'ai postés n'ont pas paru...
RépondreSupprimermerci René ils sont arrivés je ne sais comment d'un coup !
SupprimerEst-ce qu'enfin, de ce banc si blanc sur lequel j'attends depuis longtemps, je pourrai voir s'envoler mon message moult fois adressé?
RépondreSupprimerUn banc pour s'installer dans l'oubli et s'abandonner au blanc silence des oiseaux...
RépondreSupprimerBanc, babels, babils... blanc de l'attente immobile en ce silence des oiseaux
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