" ce sont les portes de toi-même face à la mer qui respire " ( Andrès Sanchez Robayna )
vapeur ou brume
la mer sans cesse
souffle du printemps
" un croissant de lune
la même courbe
que le chant du coucou ( Issa)
écume
rochers
verticales du jour
L'écume ici, mousse et envoûte de tous ses reflets, de toutes ses lignes droites ou courbes aussi, comme celles évoquées par Issa.
RépondreSupprimerBelle soirée à vous Huê.
je repensais à votre texte et à celui de Pessoa, se percevoir comme le " si petit" complément ou le " si petit" rien de la nature peut apaiser, c'est ce que les peintres chinois classiques disent et vivent en tout cas ! Belle journée à vous chère Noëlle.
SupprimerJoli texte, jolies photos. Pile ce qu'il me fallait pour mon blues de l'océan. Merci
RépondreSupprimermerci de votre passage.
SupprimerImages et les paroles de mer
RépondreSupprimerinvitent à la modestie...
nous qui sombrons peu à peu
dans l'absolue discontinuité
... quand tout est ici
si fluide et subtil.
Merci
je médite en retour vos mots, discontinuité, modestie et l'océan dont les vagues sont parfois si inquiétantes, belle journée à vous, merci de votre visite
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