C'était une nouvelle architecture acier et verre contre tuffeau
Avec encore un déambulatoire serein comme un cloître
Qui essaimait ses idées
Gardées musée
Il y avait le pavillon des malpropres et des demi-agités
Des hommes et des femmes
Et des poules et des canards
Au fond tout au fond
Autrefois, il y a si longtemps
A l'intérieur des murs
Parfois troués
Echappées vers la grève soleil
Avec le fleuve derrière les arbres
Et des volatiles qui vous font cygnes
C'était ailleurs
Des ombres éparpillées dans le corridor du temps
Solidaires énigmes humaines
et, avec petite honte, nous trouvons du charme à ces lieux où furent souffrances
RépondreSupprimeroui cela me laisse toujours un sentiment d'énigme tous ces parcours de la vie et l'histoire des lieux et puis les guerres qui les ont traversés et puis les lois qui les ont régis.
RépondreSupprimerSeuls échappatoires, le sommeil et ses rêves ou la mort !
RépondreSupprimeroh oui, quelle douleur d'exister lorsqu'on relit l'histoire des lieux, les noms des pavillons, les objets au fil des siècles et la vie qui devait s'y mener. Le musée qui a été créé est très intéressant de ce point de vue. C'est dire l'importance des efforts à poursuivre toujours encore. Là ou hors murs, dans la cité quand cela est possible. Ce qui demande aussi tolérance. mais c'est encore un autre problème.
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