Renverse la tête et regarde en haut derrière le tronc
Ses branches dessinent le ciel
Il en a oublié les années
Qui étoffent sa matière, de sève, de suc et de fibre
Le gong a sonné
Mais le temps ne compte plus ses mots,
Par deux, par trois, ou en série
Ils se sont perdus dans les
Métronomes dilatés des fissures écorces grises
En clin d'oeil à Marie Christine Grimard et à Dominique Hasselmann
et il pose sur le ciel une mantille de délicate dentelle
RépondreSupprimeroui, j'ai été surprise comme elles découpaient le ciel
SupprimerMerci pour cet envol de branches vers le ciel comme je les aime et ce balancement de métronome qu'elle prennent avec le vent !
RépondreSupprimerils nous font presque oublier le temps, à l'aune de notre vie...
SupprimerMerci pour l'allusion, le gong peut aussi suivre un rythme céleste...
RépondreSupprimercertes ;-)
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