fraîcheur en ses cycles éphémères cerisiers fraternels en ce parc égaré printemps verdurines où danse la terre ici et maintenant levées les vies qui un petit tour et puis s'en vont si frais fut le renouveau vent giboulées envol d'une prochaine saison encore mais d'où vient donc ce souvenir thé
Pétales de chair
RépondreSupprimeret l'herbe au-dessous
la vie comme jasmin de thé
échos pétales
Supprimersi doux si doux
la soie du temps
J'aime bien cette danse de la saison délicate où le presque intime des vies se lâche, rassuré par une fraternité éphémère...
RépondreSupprimervies et morts passent passent les cerisiers rendent parfois doux le passage,
RépondreSupprimersolidaires que nous sommes de l'éphémère