Je l'ai retrouvée sur la plage l'on m'a dit c'est le pêcheur parti tôt ce matin qui l'a laissée jamais pourtant je ne l'ai croisé ai imaginé sa remorque pleine de poissons et de coquillages abondance en route incessante à travers la plage seule est restée sa trace ensablée au milieu des algues me suis installée pour guetter fermement son retour
Un tel objet, en sa nudité naïve, en sa solitude, appelle un regard quasi extatique "entre" présence et absence, là où la disparition appelle comme une épiphanie.
RépondreSupprimerapparition épiphanie, pur réel alimentant ses histoires, isolée sur la plage que nul ne peut voler mais elle m'est apparue comme si étrange pousse à dire à inventer ou à imaginer...
SupprimerQuelle belle apparition !
RépondreSupprimerVoilà un signe de vie de passage comme les cygnes sur le fleuve !
Tu es chanceuse !
oui, une bien étrange - et si concrète! - fabrique&invite à récits
RépondreSupprimerconcret réel dur qui donne presque une âme réelle aux fictions ! " tout ça n'est peut-être pas si faux !" disait Valéry ;-))))
SupprimerPartagé sur Facebook (avec ta permission, comme un cadeau à mes amis amateurs de photo et de poésie)
RépondreSupprimerhttps://www.facebook.com/rene.thibaud.9/posts/1632452276772981
merci !
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