le calme discret des kakis
absorbe le soleil
au plus profond (Fura )
or du matin
se balançant au vent
voix d'automne
dites leur bien
que j'étais un mangeur de kakis
aimant les haikus ( Shiki)
des feuilles encore des feuilles
toutes multicolores
ai posé ma tête
trois mille
haikus épluchés
des kakis deux seulement ( Shiki)
bonheur d'un ciel vide
sans feuilles aucune
me dénude l'âme
Kakis lumineux d'une âme dénudée...de l'or dans le vide...Merci Huê
RépondreSupprimerl'exercice poésie, poiein véritablement, fabrique de jour en jour serait-il l'exercice matinal qui comme un coup de balai sur la terre allège allège, fiction espérance ?
RépondreSupprimerJ'aime ce balai matinal d'espérance...le ballet des kakis!
SupprimerTrès belle photo d'un été presque surexposé, sur maturé, et ces mots jetés à la volée qui tentent de s'accrocher, auprès des kakis...
RépondreSupprimerc'est vrai une lumière presque d'été de cette lumière d'avant ce vent venu du sahara... belle soirée René !
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