La fraîcheur
j'en fais ma demeure
et m'assoupis ( Basho)
Bruit dans l'eau
un ragondin
peut-être
peut-être
Le voleur m'a tout emporté
sauf la lune
qui est à ma fenêtre (Ryokan)
De l'herbe encore de l'herbe
hirsute
dans le jardin de ma main
quels délices votre série de billets
RépondreSupprimer(j'étais dans la navrance coléreuse en écoutant la radio... ramenez à la beauté simple du monde, merci)
merci de vos visites chère Brigitte
RépondreSupprimerCe qui me vient c'est "qu'importe le vol si demeurent les signes infimes de la nature en éveil de nos sensations à la vie belle"; ça me rappelle un cambriolage à la suite duquel, au petit matin j'avais entendu en moi :"On ne m'enlèvera pas "mes" chênes" Merci Huê pour cette in (vie)tation. Belle journée à vous.
RépondreSupprimerl'appel de la nature comme toujours le printemps et les saisons de la vie même si certes nous passons mais restent pérennes les cycles du temps dans lesquels rentrer fait percevoir la nature et peut-être l'étrangeté de ses mouvements qui nous dépassent
Supprimercette immense masse d'eau qu'est la Loire me l'évoque parfois
Belle après-midi à vous avec les chênes ;-))
Il y fait frais et humide mais c'est bien beau en bas, à hauteur de la main.
RépondreSupprimerFrais & simple ... la nature apaise aussi parfois...( souvent ) MerciS
RépondreSupprimerc'est vrai mais impossible aussi de lui demander trop
Supprimerl'accueillir aide parfois ...
mercis de votre visite