samedi 18 avril 2020

dialogues fragments avec" le journal inutile"







Le mensonge et la tromperie étaient-ils les seules vérités de soi jamais mises en place. Vécu. L'histoire demeure et une empreinte calcinée sur le mur du Présent. Un cadre d'époque. Presque un ennemi des temps qui avaient assumé le présent dans un paradigme existentiel. Presque une nécessité absolue 
http://www.extemporalitas.org/diario-inutile-8/

Soudain, il n'y a pas d'échappatoire. D'eux-mêmes. Du mensonge. De l'évidence de notre histoire. La solitude et le silence, que nous pensions aux moines, aux mystiques et aux poètes, sont soudainement les hôtes indiscrets et indésirables de notre férocité. Arrivé par contrainte et non par vocation, comme c'était pour toute une vie et toujours pour les mystiques, pour les moines, pour certains poètes.
http://www.extemporalitas.org/diario-inutile-8/


sur la terre comme au ciel
les cerisiers fleurissent
et moi je tousse ( nomiyama asuka )

leur attente tous les ans
éphémères 
simples sont vos noms

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