mercredi 4 avril 2018

une saison encore






fraîcheur en ses cycles éphémères cerisiers fraternels en ce parc égaré printemps verdurines où danse la terre ici et maintenant levées les vies qui un petit tour et puis s'en vont si frais fut le renouveau  vent giboulées envol d'une prochaine saison encore mais d'où vient donc ce souvenir thé






4 commentaires:

  1. Pétales de chair
    et l'herbe au-dessous
    la vie comme jasmin de thé

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  2. J'aime bien cette danse de la saison délicate où le presque intime des vies se lâche, rassuré par une fraternité éphémère...

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  3. vies et morts passent passent les cerisiers rendent parfois doux le passage,
    solidaires que nous sommes de l'éphémère

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