vendredi 14 octobre 2016










Dans le silence, est monté le cri des mouettes. C'est la langue du crépuscule. Elle a signé le parler d'une parole voyage. Qui déploie, ondoie et pétrit les vagues. La nuit s'est  levée. Et doucement a essuyé les lumières du jour. Dors petit enfant, dors. Le marchand de sable est passé.



8 commentaires:

  1. La paix de cet enfant qui dort oublieux du cri. Et vos mots transfrontaliers, toujours "entre". J'en suis touchée.

    RépondreSupprimer
  2. Réponses
    1. le soir était couleurs lumières, un moment passager et cela s'est éteint...belle journée à vous !

      Supprimer
  3. merci, densité contenue sérénité d'un soir

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. les soirs ces tableaux si changeants, merci de votre lectrure

      Supprimer