Par ces temps de grande turbulence, espérons que nos espaces ne deviennent clos. Restent les regards, les voix et leurs échappées lumière. Tu avais laissé tes habits sur la berge du monde. Pour cultiver tes champs de nénuphars, tes ciels et tes nuages, tous emboités dans les yeux du quotidien. Tu avais souhaité seulement qu'ils ne deviennent blés tourmentés, corbeaux van gogh en ce crépuscule du jour. C'était des images et des couleurs parsemées. Mais elles n'existent que de nuit. Elles dansent car elles ont oublié l'alphabet du jour.
Oui, tout à fait. Où habiter exactement, avec son désir d'artiste... mais vous connaissez les adresses... vous savez vous y rendre, et y accompagner vos lecteurs.
RépondreSupprimergrand merci de votre retour. Bricoler, bric and broc, hic et hoc... ;-))) belle journée à vous !
RépondreSupprimerSauter la nuit par-dessus les murs pour habiter les yeux du monde et y danser infiniment. Votre texte, vos images, y invitent. Merci.
RépondreSupprimerune manière (comme une autre) de laisser l'ics, vivace,vivant, vivide sans l'enterrer ;-) merci de votre passage
RépondreSupprimerEt même de l'élargir, au-delà de lui-même jusqu'à l'infini, aux limites extrêmes ou les mots (dé)frisent l'indicible!
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